DICOCER - Catégorie A-GR-ITA

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Amphores gréco-italiques



[Michel Py]


Les amphores gréco-italiques ont été ainsi dénommées depuis Benoit 1954:
- soit pour indiquer à la fois une filiation et une zone de production: amphore de tradition grecque et de production -essentiellement- italienne (Lamboglia 1955, 264);
- soit pour souligner leur position intermédiaire, en chronologie, entre les amphores grecques et les amphores romaines (Benoit 1957, 250-251).
Le prototype, qui permit de distinguer cette catégorie d'amphores, fut celui de Grand-Congloué I (Benoit 1961): Lamboglia lui donna le n°4 dans sa classification des amphores romaines républicaines (Lamboglia 1955, 264-265), tandis que Benoit lui réservait le numéro I ('républicaine I': Benoit 1957, 251-256). Cependant, on rangeait sous cette forme des galbes assez divers, dont la diversité a été soulignée à plusieurs reprises (Manacorda 1986): amphores de formes différentes, bien que des tendances évolutives globales se dégagent du IVe au IIe s.; timbres en grec aux IVe-IIIe s., en latin au IIe s...
La seule typologie qui ait été tentée de ces différentes variantes est celle de Lyding-Will 1982. Bien que cette classification en cinq types (a-e) ne fasse pas l'unanimité (cf. Manacorda 1986; Empereur 1987), elle a le mérite d'exister et d'être à peu près opérationnelle pour les exemplaires entiers. On en trouvera un bon résumé critique dans Bats 1986; pour une discussion sur les lieux de fabrication, multiples, on se reportera à Tchernia 1987 et Empereur 1987.
On a complété ici le classement de Lyding-Will dans deux directions.
D'une part on a joint quelques formes produites en Grande Grèce au IVe s. av. n.-è. (types magno-grecs MGa, b, c), définis par Van der Mersch 1986, qui constituent une des origines probables des gréco-italiques.
D'autre part, un certain nombre de formes de bord, représentant les lèvres les plus courantes, ont été numérotées afin de permettre le classement des exemplaires recueillis en grande majorité à l'état fragmentaire dans les fouilles d'habitat: les types reposent sur des critères morphologiques très simples.
La distinction des gréco-italiques récentes et des italiques Dressel 1A n'est pas toujours chose facile. Tchernia 1987 propose de réserver le terme de gréco-italiques aux amphores dont le rapport 'hauteur totale moins la pointe' sur 'largeur maximale' est inférieur à 2,9; tandis que celles dont le rapport est supérieur à ce chiffre seraient à ranger dans parmi les amphores italiques. Pour Empereur 1987, le passage des gréco-italiques aux Dr1A se fait lorsque les amphores atteignent environ 90 cm de hauteur, avec un rapport 'diamètre maximum sur hauteur' proche de 1/3, un rapport 'hauteur du col sur hauteur de la panse' proche de 0,5, tandis que la lèvre devient plus haute qu'épaisse.
Il est également difficile de fournir une indication globale sur les caractères techniques propres aux amphores gréco-italiques, qui sont assez variables et ne conduisent point à une reconnaissance automatique: si l'argile est en général de ton rosé et assez épurée, on trouve aussi des pâtes tendant sur le jaune ou l'orangé et des inclusions de sables ou micas divers, comme dans les amphores italiques postérieures. Peu de possibilités donc de classer les éléments autres que les lèvres: et encore avec une grande marge d'incertitude pour les profils de bords gréco-italiques les plus récents, qui se retrouvent largement sur le type italique Dressel 1A.
L'argument le plus fiable, pour les fragments, reste la chronologie du contexte de découverte, s'il est possible de la déterminer par d'autres moyens que les amphores en question: à savoir que toute amphore de type italique antérieure aux années 130 (date d'apparition admise pour les amphores Dressel 1A) sera classée dans les gréco-italiques. Ce qui vaut moins, bien sûr, dans l'autre sens.
On considère généralement que les amphores gréco-italiques, diffusées du IVe au IIe s. av. n.-è., furent destinées à transporter du vin (traces de résine, bouchons de liège). Elles furent fabriquées aussi bien en Sicile qu'en Grande Grèce (Calabre), mais également, surtout pour les exemplaires les plus récents, en Italie centrale. Dans les épaves, l'association avec les premiers chargements de campanienne A indique qu'elles ont notamment servi à transporter le vin tyrrhénien (Etrurie, Latium, Campanie).
L'hypothèse d'une fabrication espagnole repose sur une unique amphore portant un timbre en écriture ibérique, trouvée à Ensérune. Mais, comme le montrent les marques peintes de Vieille-Toulouse (Vidal 1983), ce timbrage peut refléter la prise en compte par un fabriquant italien du rôle des courtiers ibères dans la distribution de ces amphores dans la partie occidentale du Languedoc.

Etudes régionales de référence pour les amphores gréco-italiques

Provence: Benoit 1957; 1961; Gateau 1990.
Languedoc oriental: Py 1990, 579-581; Py 1990A.
Languedoc occidental: Solier 1979; Vidal 1983; Bats 1986.
Catalogne: Sanmarti 1985; Nolla 1989.


A-GR-ITA bd1

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • description : Bord horizontal. Attesté notamment sur les types LWa et LWb.
  • Exemples :
    Ampurias, 250-200 (Sanmarti 1985, p.152, fig.28, n°1-10).
    El Campello, 350-300 (Alvarez García 1998, p.218, fig.5, n°3).
    La Courtine, 350-300 (Bérato 1996, p.65, fig.7, n°11).
    Lattes, 300-200 (Py 2001, n°209)
    Lattes, 325-275 (Py 2001, n°207)
    Lattes, 325-275 [phase 27C] (Py 2001, n°208)
    Lattes, 325-300 (Py 2001, n°205)
    Lattes, 325-300 (Py 2001, n°206)
    Roses, 300-200 (Puig 1998, p.151, fig.11, n°2,3).
    Sanguinaires A, 250-200 (Alfonsi 1997, p.43).
    Vintimille, 300-250 (Lamboglia 1955, p.251, fig.7).
  • auteurs : Michel Py
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -350
  • TAQ : -200

  • A-GR-ITA bd2

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • description : Bord incliné à base horizontale. Attesté notamment sur les types LWc et d.
  • Exemples :
    Alorda Park, 225-175 (Asensio 1996, p.60, fig.12, n°148,149,151,152).
    Alorda Park, 225-175 (Asensio 1996, p.61, fig.13, n°161-175).
    Alorda Park, 225-175 (Asensio 1996, p.62, fig.14, n°177,178,181,183,186,187,190).
    Ambrussum, 200-100 (Fiches 1976, p.73, fig.57, n°13-15).
    Ampurias, 150-125 (Sanmarti 1986c, p.181, fig.21, n°8).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1983, p.137, fig.30, n°12,14,16).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1983, p.138, fig.31, n°15,16).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1985, p.153, fig.29, n°1-6).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.85, fig.5, n°12).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.85, fig.5, n°14).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.89, fig.10, n°15).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.94, fig.16, n°12,14).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.95, fig.17, n°17,18).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.98, fig.21, n°12).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.437, fig.146, n°5,6).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.439, fig.147, n°1,7).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.449, fig.152, n°4,9,10).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.455, fig.155, n°2,3).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.457, fig.156, n°13,20).
    Aumes, 200-150 (Feugère 1983, p.8, fig.2, n°10).
    Baou de Saint-Marcel, 150-100 (Guichard 1993, p.251, fig.18, n°277).
    Baou de Saint-Marcel, 150-100 (Rayssiguier 1983, p.74, fig.11, n°55).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.83, fig.10, n°154,155).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.84, fig.11, n°158,159,161).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.85, fig.12, n°167,170).
    Baou-Roux, 175-125 (Gateau 1990, p.168, fig.7, n°6,9).
    Camogli, 200-150 (Milanese 1985b, p.91, fig.116, n°3).
    Entremont, 175-90 (Benoit 1968, p.29, fig.36).
    Entremont, 175-90 (Gateau 1990, p.168, fig.7, n°16,20).
    Gènes, 200-100 (Milanese 1987, p.117, fig.69, n°13).
    Isona, 200-100 (Morán 1994, p.210, fig.6, n°1,2).
    La Campagne, 200-150 (Bermond 1998, p.42, fig.14, n°3).
    Lattes, 125-100 (Py 2001, n°224)
    Lattes, 125-75 [phase 3C2] (Py 2001, n°225)
    Lattes, 150-100 [phase 5E3] (Py 2001, n°222)
    Lattes, 150-100 [phase 5E3] (Py 2001, n°223)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°214)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°215)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°220)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°243)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°211)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°221)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°232)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°233)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°244)
    Lattes, 175-125 (Py 2001, n°213)
    Lattes, 175-125 (Py 2001, n°231)
    Lattes, 175-125 [phase 9C] (Py 2001, n°219)
    Lattes, 175-150 (Py 2001, n°241)
    Lattes, 175-150 [phase 31D] (Py 2001, n°242)
    Lattes, 175-150 [phase 4sD1] (Py 2001, n°226)
    Lattes, 175-150 [phase 4sD1] (Py 2001, n°227)
    Lattes, 175-150 [phase 5E4] (Py 2001, n°238)
    Lattes, 175-150 [phase 5E4] (Py 2001, n°239)
    Lattes, 175-150 [phase 7oB1] (Py 2001, n°217)
    Lattes, 175-150 [phase 7oB1] (Py 2001, n°240)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°218)
    Lattes, 200-150 (Py 2001, n°230)
    Lattes, 200-175 (Py 2001, n°237)
    Lattes, 200-175 [phase 3D2b] (Py 2001, n°210)
    Lattes, 200-175 [phase 3D2b] (Py 2001, n°236)
    Lattes, 200-175 [phase 8D2] (Py 2001, n°212)
    Lattes, 200-175 [phase 8D2] (Py 2001, n°229)
    Lattes, 225-200 [phase 1C1c] (Py 2001, n°235)
    Lattes, 225-200 [phase 2C2] (Py 2001, n°216)
    Lattes, 225-200 [phase 4sD3] (Py 2001, n°228)
    Lattes, 250-225 [phase 16D2] (Py 2001, n°234)
    Les Embiez, 200-100 (Roth 1978, p.40, fig.2, n°5).
    Les Escaravatiers, 200-125 (Fiches 1995, p.242, fig.26, n°88,90).
    Marseille, 175-150 (Bertucchi 1989, p.71, fig.18, n°179).
    Marseille, 175-150 (Bertucchi 1989, p.72, fig.19, n°187).
    Marseille, 200-150 (Bertucchi 1989, p.64, fig.13, n°93).
    Mas Boscà, 225-175 (Junyent 1972, p.15, fig.5).
    Mont-Garou, 150-100 (Arcelin 1982a, p.102, fig.31, n°346).
    Nages, 175-100 (Py 1978b, p.248, fig.118, n°259-261).
    Roses, 250-200 (Puig 1998, p.157, fig.16, n°2).
    Roses, 300-200 (Puig 1998, p.151, fig.11, n°1).
    Sagonte, 200-175 (Aranegui 1995, p.256, fig.8, n°2057,2723).
    Saint-Blaise, 175-125 (Gateau 1990, p.168, fig.7, n°17).
    Sanguinaires A, 250-200 (Alfonsi 1997, p.43).
    Taradeau, 200-100 (Berato 1993, p.86, fig.58, n°118-119).
    Vintimille, 250-175 (Lamboglia 1952a, p.162, fig.20).
  • auteurs : Michel Py
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -300
  • TAQ : -150

  • A-GR-ITA bd3

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • description : Bord incliné à base oblique. Attesté notamment sur les types LWc, d, e.
  • Exemples :
    Alorda Park, 225-175 (Asensio 1996, p.60, fig.12, n°150,153,156,157).
    Alorda Park, 225-175 (Asensio 1996, p.61, fig.13, n°163,170).
    Alorda Park, 225-175 (Asensio 1996, p.62, fig.14, n°179,180,182).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1983, p.137, fig.30, n°9).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1983, p.138, fig.31, n°14).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.89, fig.10, n°14).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.92, fig.14, n°6).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.95, fig.17, n°15,16).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.98, fig.21, n°11).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.435, fig.145, n°7).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.437, fig.146, n°1).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.439, fig.147, n°2,6,8).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.455, fig.155, n°1).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.457, fig.156, n°19).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.463, fig.159, n°11).
    Ampurias, 225-175 (Sanmarti 1988a, p.108, fig.9, n°15-17).
    Baou de Saint-Marcel, 150-100 (Rayssiguier 1983, p.74, fig.11, n°57).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Gantès 1980, p.77, fig.12, n°22).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.83, fig.10, n°153).
    Baou-Roux, 175-125 (Gateau 1990, p.168, fig.7, n°7,8).
    Baou-Roux, 175-125 (Gateau 1990, p.173, fig.17, n°13).
    Camogli, 200-150 (Milanese 1985b, p.91, fig.116, n°2).
    Lattes, 150-100 [phase 5E3] (Py 2001, n°249)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°255)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°261)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°271)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°262)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°272)
    Lattes, 150-125 [phase 9C] (Py 2001, n°248)
    Lattes, 150-125 [phase 9C] (Py 2001, n°273)
    Lattes, 175-125 (Py 2001, n°260)
    Lattes, 175-125 [phase 9C] (Py 2001, n°269)
    Lattes, 175-125 [phase 9C] (Py 2001, n°270)
    Lattes, 175-150 [phase 16C2] (Py 2001, n°266)
    Lattes, 175-150 [phase 31D] (Py 2001, n°267)
    Lattes, 175-150 [phase 31D] (Py 2001, n°268)
    Lattes, 175-150 [phase 3D2a] (Py 2001, n°257)
    Lattes, 175-150 [phase 3D2a] (Py 2001, n°263)
    Lattes, 175-150 [phase 5E4] (Py 2001, n°246)
    Lattes, 175-150 [phase 5E4] (Py 2001, n°252)
    Lattes, 175-150 [phase 5E4] (Py 2001, n°258)
    Lattes, 175-150 [phase 7oB1] (Py 2001, n°247)
    Lattes, 175-150 [phase 7oB1] (Py 2001, n°264)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°253)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°254)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°259)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°265)
    Lattes, 200-175 [phase 102C] (Py 2001, n°250)
    Lattes, 200-175 [phase 102C] (Py 2001, n°256)
    Lattes, 200-175 [phase 3D2b] (Py 2001, n°245)
    Lattes, 200-175 [phase 9D] (Py 2001, n°251)
    Le Marduel, 175-125 (Py 1986, p.30, fig.25, n°16).
    Marseille, 175-150 (Bertucchi 1989, p.71, fig.18, n°184-185).
    Marseille, 175-150 (Bertucchi 1989, p.72, fig.19, n°186).
    Marseille, 200-150 (Bertucchi 1989, p.64, fig.13, n°92).
    Marseille, 200-175 (Bertucchi 1989, p.59, fig.11, n°55-56).
    Mas Boscà, 225-175 (Junyent 1972, p.16, fig.6).
    Puig Castellet, 250-200 (Nolla 1981, p.225, pl.85, n°1).
    Sagonte, 200-175 (Aranegui 1995, p.256, fig.8, n°2595).
    San Julià de Ramis, 225-200 (Burch 1996, p.63, fig.5, n°7).
    Sanguinaires A, 250-200 (Alfonsi 1997, p.43).
    Teste-Nègre, 250-175 (Gantès 1977, fig.38, n°1).
    Vintimille, 150-100 (Lamboglia 1952a, p.163, fig.21).
    Vintimille, 200-100 (Lamboglia 1950, p.86, fig.39, n°91,92).
    Vintimille, 250-200 (Lamboglia 1950, p.90, fig.42, n°1).
  • auteurs : Michel Py
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -225
  • TAQ : -125

  • A-GR-ITA bd4

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • description : Bord incliné à base concave. Attesté notamment sur les types LWc, d, e.
  • Exemples :
    Alorda Park, 225-175 (Asensio 1996, p.60, fig.12, n°154,155,158,159).
    Alorda Park, 225-175 (Asensio 1996, p.61, fig.13, n°160,167).
    Alorda Park, 225-175 (Asensio 1996, p.62, fig.14, n°176,184,185,188,189,191-194).
    Ampurias, 150-100 (Sanmarti 1986a, p.305, fig.9, n°1-2).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1983, p.138, fig.31, n°13).
    Ampurias, 200-150 (Sanmarti 1986, p.94, fig.16, n°13).
    Ampurias, 200-175 (Aquilué 1984, p.463, fig.159, n°1,2).
    Aumes, 200-150 (Feugère 1983, p.8, fig.2, n°9).
    Baou de Saint-Marcel, 150-100 (Guichard 1993, p.250, fig.17, n°276).
    Baou de Saint-Marcel, 150-100 (Rayssiguier 1983, p.74, fig.11, n°58).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.83, fig.10, n°152,156).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.84, fig.11, n°162,163,165).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.85, fig.12, n°168).
    Camogli, 200-150 (Milanese 1985b, p.91, fig.116, n°1).
    Espeyran, 200-150 (Barruol 1978, p.62, fig.32, n°27).
    Gènes, 200-100 (Grasso 1993, p.193, fig.13, n°4).
    La Campagne, 200-150 (Bermond 1998, p.42, fig.14, n°4,5).
    Lattes, 100-75 [phase 3C2] (Py 2001, n°309)
    Lattes, 100-75 [phase 3C2] (Py 2001, n°310)
    Lattes, 125-75 [phase 4nF] (Py 2001, n°283)
    Lattes, 125-75 [phase 4nF] (Py 2001, n°284)
    Lattes, 125-75 [phase 4nF] (Py 2001, n°308)
    Lattes, 150-100 [phase 4sC] (Py 2001, n°314)
    Lattes, 150-100 [phase 5E3] (Py 2001, n°282)
    Lattes, 150-100 [phase 5E3] (Py 2001, n°307)
    Lattes, 150-100 [phase 5E3] (Py 2001, n°315)
    Lattes, 150-100 [phase 5E3] (Py 2001, n°316)
    Lattes, 150-100 [phase 5E3] (Py 2001, n°317)
    Lattes, 150-125 [phase 16C1] (Py 2001, n°313)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°279)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°299)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°300)
    Lattes, 150-125 [phase 3D1] (Py 2001, n°312)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°280)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°301)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°302)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°303)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°304)
    Lattes, 150-125 [phase 9C] (Py 2001, n°281)
    Lattes, 150-125 [phase 9C] (Py 2001, n°305)
    Lattes, 150-125 [phase 9C] (Py 2001, n°306)
    Lattes, 175-125 [phase 9C] (Py 2001, n°297)
    Lattes, 175-125 [phase 9C] (Py 2001, n°298)
    Lattes, 175-150 (Py 2001, n°311)
    Lattes, 175-150 [phase 5E4] (Py 2001, n°290)
    Lattes, 175-150 [phase 7oB1] (Py 2001, n°291)
    Lattes, 175-150 [phase 7oB1] (Py 2001, n°292)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°278)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°293)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°294)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°295)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°296)
    Lattes, 200-100 (Py 2001, n°289)
    Lattes, 200-175 (Py 2001, n°288)
    Lattes, 200-175 [phase 2B3] (Py 2001, n°286)
    Lattes, 200-175 [phase 3D2b] (Py 2001, n°275)
    Lattes, 200-175 [phase 3D2b] (Py 2001, n°287)
    Lattes, 200-175 [phase 7oC2] (Py 2001, n°276)
    Lattes, 200-175 [phase 9D] (Py 2001, n°277)
    Lattes, 225-200 [phase 4sD3] (Py 2001, n°274)
    Lattes, vers 125 [phase 9C] (Py 2001, n°318)
    Lattes, vers 200 [phase 1B2] (Py 2001, n°285)
    Le Bourbou, 250-200 (Bermond 1998, p.42, fig.14, n°2).
    Le Marduel, 250-200 (Py 1989, p.179, fig.57, n°25).
    Les Escaravatiers, 200-125 (Fiches 1995, p.242, fig.26, n°89).
    Marseille, 175-150 (Bertucchi 1989, p.71, fig.18, n°176-183).
    Marseille, 175-150 (Bertucchi 1989, p.72, fig.19, n°188).
    Marseille, 200-150 (Bertucchi 1989, p.64, fig.13, n°94).
    Molí d'Espígol, 250-200 (Cura 1986, p.274, fig.4, n°8).
    Nages, 175-100 (Py 1978b, p.248, fig.118, n°262,263).
    Nages, 250-175 (Py 1978b, p.248, fig.118, n°258).
    Olbia, 225-150 (Bats 1995, p.379, fig.11, n°15-21).
    Roses, 250-200 (Puig 1998, p.157, fig.16, n°1,3).
    Sagonte, 200-175 (Aranegui 1995, p.256, fig.8, n°3150).
    Saint-Blaise, 200-100 (Bouloumié 1982a, p.143, fig.41, n°7).
    Taradeau, 200-100 (Berato 1993, p.86, fig.58, n°120).
    Teste-Nègre, 250-175 (Gantès 1977, fig.38, n°3).
    Toulouse, 200-100 (Fouet 1969, p.76, fig.6, n°2).
    Vintimille, 150-125 (Lamboglia 1952a, p.163, fig.21).
    Vintimille, 200-100 (Lamboglia 1950, p.86, fig.39, n°89,90).
    Vintimille, 200-100 (Lamboglia 1950, p.94, fig.45, n°45).
  • auteurs : Michel Py
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -225
  • TAQ : -100

  • A-GR-ITA bd5

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • équivalences : Également appelées amphores de transition gréco-italique / Dr. 1A
  • description : Bord attesté notamment sur le type LWe (de transition). Le profil est triangulaire, les mesures d'identification changent selon les critères retenus par les auteurs : HL/EL = 1,2 (Sanmarti 1985, p. 140-142) HL/EL = 1,3 (Gateau 1990, p. 169)
  • Exemples :
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.83, fig.10, n°150,151,157).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.85, fig.12, n°169).
    Lattes, 150-125 (Py 2001, n°324)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°322)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°323)
    Lattes, 175-150 [phase 5E4] (Py 2001, n°319)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°320)
    Lattes, 175-150 [phase 8D1] (Py 2001, n°321)
    Le Marduel, 175-125 (Py 1986, p.30, fig.25, n°17).
    Les Embiez, 200-100 (Roth 1978, p.40, fig.2, n°6,7).
    Marseille, 175-150 (Bertucchi 1989, p.72, fig.19, n°189).
    Olbia, 225-150 (Bats 1995, p.379, fig.11, n°14).
  • dimensions : H 2,8-3,5 cm ; Ø max 12-16 cm ; inclinaison 70-74°
  • origine : côtes tyrrhéniennes de l'Italie
  • auteurs : Michel Py, Laurence Benquet
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -150
  • TAQ : -120

  • A-GR-ITA bd6

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • description : Bord d'amphore gréco-italique archaïque de production probablement latiale (argile claire à inclusion de sable volcanique)
  • Exemples :
    Milanese 1987, p.239, fig. 104, n°655
    Manacorda 1981, p.22.
  • illustrations : Milanese 1987.
  • auteurs : Michel Py
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -350
  • TAQ : -300

  • A-GR-ITA LWa

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • référence : Lyding-Will 1982, type A2.
  • description : Amphore trapue, haute de 60 à 70 cm, et ventrue, avec un diamètre maximum de la panse de 38 à 40 cm. Pied allongé, parfois creux. Bords en général de forme Bd1. Fabriquée notamment en Sicile et probablement en Grande Grèce.
  • Exemples :
    Aléria, 340-300 (Jehasse 1973, fig.143, n°357).
    Ampurias, 250-175 (Nolla 1974, p.149, fig.1, n°3).
    Ampurias, 300-250 (Nolla 1974, p.172, fig.17, n°12).
    Cabrera, 250-225 (Cerda 1978, p.104, n°33,34).
    Ensérune, 300-200 (Jannoray 1955, pl.53, n°5).
    La Cloche, 250-100 (Chabot 1996, p.258, fig.30).
    Lattes, 225-200 (Py 2001, n°193)
    Lattes, 300-250 (Py 2001, n°192)
    Pech-Maho, 225-200 (Solier 1979, p.92, fig.22, n°4-5).
    Porto-Vecchio, 300-250 (Gallia 1975, p.604, fig.42, n°1).
    Tour Fondue, 300-275 (Long 1990, p.64, fig.37, n°1,2).
    Ullastret, 300-200 (Oliva 1960, p.356, fig.8).
  • auteurs : Michel Py
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -350
  • TAQ : -250

  • A-GR-ITA LWb

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • référence : Lyding-Will 1982.
  • équivalences : "type de Pech-Maho" (Solier 1979, fig.22-23).
  • description : Amphore plus haute (70-80 cm) et moins ventrue (Ø max.=36-38 cm) que LWa. Pied court, parfois creux. Bord généralement de forme Bd1. Fabriquée notamment en Sicile et probablement en Grande Grèce.
  • Exemples :
    Lattes, 200-175 [phase 8D2] (Py 2001, n°194)
    Montlaurès, 250-200 (Solier 1973, p.98, fig.13, n°1).
    Pech-Maho, 225-200 (Solier 1979, p.92, fig.22, n°1-3).
    Pech-Maho, 225-200 (Solier 1979, p.94, fig.23, n°1-6).
  • auteurs : Michel Py
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -250
  • TAQ : -200

  • A-GR-ITA LWc

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • référence : Lyding-Will 1982.
  • équivalences : "type Grand-Congloué 1" (Benoit 1961); Lamboglia 1955, type 4.
  • description : Amphore élancée (hauteur 82-90 cm, diamètre maximum de la panse 36 à 39 cm). Equipée de bords Bd2, 3 ou 4. Existe également sous forme de demi amphore de 55 à 60 cm de haut. Origine italienne.
  • Exemples :
    Ampurias, 200-150 (Nolla 1974, p.149, fig.1, n°5).
    Ampurias, 200-150 (Nolla 1974, p.153, fig.4, n°1,6).
    Cap-Gros, 200-150 (Fiori 1974, p.87, fig.3, n°4,5).
    Castelnaudary, 200-100 (Passelac 1968, p.119, fig.4, n°3).
    Grand Congloué I, 205-200 (Benoit 1961, p.37, fig.2, n°1-3).
    Héliopolis 2, 225-175 (Gallia-Informations 1992-1, p.40, fig.43, n°1-4).
    Lattes, 150-100 (Py 2001, n°199)
    Lattes, 150-125 [phase 4nG] (Py 2001, n°198)
    Lattes, 175-150 [phase 16C2] (Py 2001, n°196)
    Lattes, 175-150 [phase 16C2] (Py 2001, n°197)
    Lattes, 200-125 (Py 2001, n°195)
    Le Grau-du-Roi, 200-150 (Granier 1965, p.257, fig.5, n°1).
    Les Pennes, 200-150 (Benoit 1961, p.37, fig.2, n°4-5).
    Nages, 250-175 (Py 1978b, p.250, fig.119, n°3).
    Pontos, 225-175 (Pons 1997, p.16, fig.8, n°1-5).
    Pontos, 225-175 (Pons 1997, p.16, fig.8, n°1-5).
    Pontos, 225-175 (Pons 1997, p.17, fig.9, n°1-5).
    Pontos, 225-175 (Pons 1997, p.17, fig.9, n°1-5).
    Tour d'Agnello, 250-200 (Gallia 1982, p.453, fig.17, n°1-6).
  • auteurs : Michel Py
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -225
  • TAQ : -175

  • A-GR-ITA LWd

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • référence : Lyding-Will 1982. Cf; Gantès 1977, pl.41.
  • description : "Type gréco-italique standard" d'après Lyding-Will. Amphore fuselée (hauteur: 75 à 85 cm; diamètre maximum de la panse: 32 à 36 cm), à pied allongé et plein. Bord de type BD2, 3 ou 4. Origine probable: Italie centrale et méridionale.
  • Exemples :
    Anthéor C, 200-150 (Benoit 1957, p.254, fig.5).
    Cadaquès, 200-150 (Oliva 1961b, p.200-150, fig.19, n°26).
    Grand Congloué I, 205-200 (Benoit 1961, p.33, fig.1, n°8).
    La Chrétienne C, 200-150 (Gallia 1973, p.601, fig.34, n°1).
    Marseille, 200-150 (Gallia 1975, p.582, fig.14, n°1).
    Saint-Hospice 2, 200-150 (Gallia-Informations 1992-1, p.55, fig.57, n°a,b).
  • auteurs : Michel Py
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -200
  • TAQ : -150

  • A-GR-ITA LWe

  • code : A-GR-ITA
  • genre : AMPH
  • catégorie : amphore gréco-italique
  • forme : amphore
  • référence : Lyding-Will 1982.
  • équivalences : Laubenheimer 1980, "groupe de Montfo"; Stöckli 1979, forme 4/1A.
  • description : Amphore fuselée (hauteur: 85 à 95 cm; diamètre maximum de la panse: 30 cm), pied plein, bords de type Bd3, 4, 5 ou 6. Amphore également appelée de "transition" dont le rapport hauteur totale moins hauteur du pied sur diamètre maximum de la panse est compris entre 2,6 et 2,9 (Tchernia 1986, p. 309)
  • Exemples :
    Ampurias, 150-125 (Nolla 1974, p.149, fig.1, n°6).
    Ampurias, 150-125 (Nolla 1974, p.150, fig.2, n°1,2).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.83, fig.10).
    Baou de Saint-Marcel, 200-100 (Guichard 1988, p.85, fig.12, n°171-175).
    Béziers, 175-100 (Laubenheimer 1980, p.322, fig.20, n°29).
    Bormes-les-Mimosas, 200-150 (Gallia-Informations 1992-1, p.32, fig.31).
    Bram, 150-100 (Passelac 1970, p.83, fig.6).
    Entremont, 150-125 (Benoit 1957, p.264, fig.13).
    Ile Lavezzi, 200-125 (Benoit 1956, p.25, fig.2, n°22).
    La Ciotat C, 150-100 (Benoit 1957, p.255, fig.7).
    La Ciotat, 200-125 (Benoit 1958, p.23, fig.26).
    Lattes, 150-100 [phase 31C] (Py 2001, n°204)
    Lattes, 150-125 (Py 2001, n°203)
    Lattes, 150-125 [phase 9C] (Py 2001, n°202)
    Lattes, 175-125 (Py 2001, n°201)
    Lattes, 175-150 [phase 31D] (Py 2001, n°200)
    Marseille, 200-150 (Gallia 1975, p.582, fig.14, n°2-4).
    Monfo, 175-125 (Laubenheimer 1980, p.320, fig.18, n°16-20).
    Montfo, 175-125 (Laubenheimer 1980, p.321, fig.19, n°23-26).
    Nimes, 150-125 (Py 1981, p.155, fig.68, n°13).
    Nimes, 175-100 (Laubenheimer 1980, p.321, fig.19, n°22).
    Nimes, 175-100 (Laubenheimer 1980, p.322, fig.20, n°30).
    Porquerolles, 200-125 (Benoit 1960, p.46, fig.9).
    Riells, 200-100 (Nieto 1985, p.149, fig.5, n°1).
    Toulouse et Vielle-Toulouse, 150-120 (Benquet 2007, p.440, fig.4).
  • dimensions : H 85-95 cm ; Ø max 30 cm
  • origine : côtes tyrrhéniennes de l'Italie; peut-être aussi la côte hispanique, selon Lyding-Will
  • auteurs : Michel Py, Laurence Benquet
  • utilisation : transporter, stocker
  • TPQ : -150
  • TAQ : -120