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Amphores étrusques
[Michel Py]
Les amphores étrusques sont de forme et de pâte très diverses, du fait d'une production longue (du VIIIe au IIIe s. et au-delà) et disséminée dans un grand nombre de centres potentiels, notamment en Etrurie méridionale (cf. Rizzo 1990), mais aussi peut-être en Campanie (cf. Albore 1978), qu'on ne sait pas encore identifier avec certitude. Des cités comme Vulci, Tarquinia, Gravisca, Cerveteri, Pyrgi... ont pu jouer un rôle dans cette fabrication.
Il s'agit d'amphores ventrues ou plus effilées qui présentent pour point commun un galbe ovoïde, résultant d'un col court ou absent et de l'inexistence de pied plein. Les lèvres sont plus ou moins hautes, et cet élément est en soi un marqueur chronologique (Marchand 1982): très courtes, en petit boudin, à l'origine, elles tendent à s'épaissir puis à s'allonger progressivement jusqu'à constituer un bandeau dans les exemplaires les plus récents. Les anses, plus ou moins lourdes, ont pour caractéristique commune leur section ronde. Les fonds enfin appartiennent à plusieurs types: plats et discoïdaux, en obus, en pointe, en pointe aplatie (selon une évolution temporelle au demeurant non linéaire).
Argiles, dégraissants, cuissons et engobes (présents ou absents) varient selon les formes, mais aussi à l'intérieur d'une même forme (les caractères les plus fréquents dans les exemplaires retrouvés en Gaule méridionale et en Catalogne sont indiqués dans la description de chaque type).
La typologie des amphores étrusques a été établie pour la première fois en Gaule méridionale (Py 1974), où les trouvailles ont été particulièrement nombreuses, tant sur les sites terrestres que dans les épaves. Cette typologie a été plusieurs fois reprise (Bouloumié 1980; Carduner 1981; Marchand 1982) avec des variations dans la numérotation des formes. On utilisera ici la classification de synthèse mise au point en 1985 (Py 1985), en indiquant les équivalences avec les divers essais antérieurs et avec la classification des amphores d'Etrurie méridionale publiée par Gras 1985: groupe EMA à EME, en ajoutant un indice à chaque groupe (n°1 à n de gauche à droite sur la fig.46b de cet ouvrage). Pour la diffusion en Gaule méridionale et en Catalogne, se reporter à Py 1985 où la plupart des découvertes antérieures à cette date sont cataloguées.
On considère d'ordinaire que les amphores étrusques ont servi à transporter principalement du vin (Morel 1981A), mais d'autres produits ne sont pas à exclure. Vers la Provence, le Golfe du Lion et la Catalogne, ce commerce démarre vers 630 av. n. è. et s'amplifie durant la première moitié du VIe s. (périodes où les amphores sont accompagnées de nombreux vases en bucchero nero et de quelques pièces étrusco-corinthiennes). Sauf exceptions, il subit une forte régression durant la seconde moitié de ce siècle et la première du suivant, et devient sporadique après 450. Les étrusques ont bien entendu géré ces apports directement, mais leurs produits ont été également relayés, par les Grecs sur la côte, par les indigènes vers l'intérieur.
Etudes régionales de référence pour les amphores étrusques
Provence: Benoit 1965; Carduner 1981; Bouloumié 1976; 1976A; 1980; 1982; Liou 1974; Arcelin 1982; Amann 1977.
Languedoc oriental: Py 1974; 1984; 1985; 1985A; 1990, 530-534; Dedet 1980A; Mendoza 1978; 1985; 1989.
Languedoc occidental: Marchand 1982; Nickels 1987; 1989; Guilaine 1986.
Catalogne: Sanmarti 1971; 1991.
A-ETR 1/2
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : Py 1985. équivalences : Py 1974, formes 1 et 2; Bouloumié 1980, forme 1; Carduner 1981, forme 1; Gras 1985, groupe EMA(2). description : Forme ventrue, lèvre courte, parois fines; anses à profil anguleux et section aplatie à la base; fond plat étroit à paroi non épaissie; deux variantes de pâte: type 1: terre gris-jaune, fin dégraissant sableux, engobe transparent; type 2: terre rosée ou orangée, même dégraissant, engobe crème épais. Exemples :
Aumes, 600-550 (Hérubel 2000, p.91).
Camp-Redon, 625-550 (Prades 1985, p.105, fig.79, n°1-4).
La Liquière, 575-500 (Py 1984, p.162, fig.118, n°7,8).
La Liquière, 575-500 (Py 1984, p.180, fig.132, n°15).
La Liquière, 575-500 (Py 1984, p.59, fig.39, n°1-5).
La Liquière, 575-550 (Py 1984, p.102, fig.75, n°13).
La Liquière, 575-550 (Py 1984, p.118, fig.88, n°1).
La Liquière, 575-550 (Py 1984, p.159, fig.117, n°1,2).
La Liquière, 575-550 (Py 1984, p.66, fig.44, n°9).
La Liquière, 600-575 (Py 1984, p.156, fig.115, n°2).
La Liquière, 600-575 (Py 1984, p.176, fig.130, n°1).
La Liquière, 600-575 (Py 1984, p.54, fig.36, n°1-3).
La Liquière, 600-575 (Py 1984, p.76, fig.50, n°5).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.150, fig.111, n°1-3).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.171, fig.126, n°1-3).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.27, fig.11, n°2-4).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.48, fig.31, n°1-3).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.88, fig.65, n°4-11).
La Rallongue, 625-550 (Prades 1985, p.24, fig.11, n°1-14).
Lattes, 625-575 (Py 2001, n°1)
Le Marduel, 600-550 (Py 1994, p.214, fig.16, n°9).
Marseille, 525-500 (Sourisseau 1997, p.131, fig.46, n°10).
Marseille, 525-500 (Sourisseau 1997, p.238, fig.97, n°1).
Marseille, 550-525 (Sourisseau 1997, p.231, fig.90, n°5-7).
Marseille, 560-520 (Sourisseau 1997, p.129, fig.44, n°7).
Marseille, 560-540 (Sourisseau 1997, p.92, fig.32, n°1,2).
Marseille, 570-550 (Sourisseau 1997, p.110, fig.39, n°1-4).
Marseille, 580-560 (Sourisseau 1997, p.89, fig.29, n°1-6).
Marseille, 600-580 (Sourisseau 1997, p.86, fig.26, n°1,3,4,5).
Notre-Dame de Consolation, 600-500 (Solier 1992, p.362, fig.47, n°1).
Pech-Maho, 600-550 (Py 1985a, p.76, fig.3, n°6-7).
Saint-Blaise, 625-575 (Sourisseau 1997, p.373, fig.150, n°5-9).
Tamaris, 525-450 (Duval 1998, p.161, fig.31, n°214).
Tamaris, 575-525 (Duval 1998, p.155, fig.27, n°134,138,140).
Tamaris, 625-575 (Duval 1998, p.144, fig.21, n°29).
Tamaris, 625-575 (Duval 1998, p.164, fig.33, n°277).
Tonnerre I, 600-575 (Py 1985, p.60, fig.35, n°4,11-14).
Tonnerre I, 625-600 (Py 1985, p.65, fig.38, n°5,7).
Tonnerre, 625-550 (Prades 1985, p.122, fig.93, n°6-9).illustrations : La Liquière. auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -625 TAQ : -575
A-ETR 3
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : • Série. description : Tous types d'amphore étrusque 3. auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -625 TAQ : -525
A-ETR 3/4
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : • Série. description : Tous types d'amphore étrusque 3 ou 4 à pâte brune à cœur gris. auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -600 TAQ : -450
A-ETR 3A
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : Py 1985. équivalences : Py 1974, forme 3A; Bouloumié 1980, forme 2A; Carduner 1981, forme 2; Marchand 1982, types A(a-c) et B(a-b); Gras 1985, groupe EMC(2). description : Panse ovoïde large; lèvre courte sur petit col dégagé; anses à profil arrondi et section ronde à la base; fond en obus, souvent bombé, rarement en pointe; nombreuses variantes de pâte dans les tons bruns (souvent à cœur noir), rouges (parfois à cœur gris) et orangés; engobe crème fréquent; dégraissant d'origine volcanique. Exemples :
Baou de Saint-Marcel, 550-500 (Gantès 1980, p.78, fig.13, n°27).
Camp-Redon, 625-550 (Prades 1985, p.105, fig.79, n°11-14).
La Liquière, 575-500 (Py 1984, p.58, fig.38, n°1).
La Liquière, 575-550 (Py 1984, p.118, fig.88, n°10).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.171, fig.126, n°7).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.48, fig.31, n°4,5).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.89, fig.66, n°1-9).
La Monédière, 550-500 (Marchand 1982, p.151, fig.5, n°46).
La Rallongue, 575-550 (Savay-Guerraz 1985, p.11, fig.6, n°30).
La Rallongue, 625-550 (Prades 1985, p.25, fig.12, n°1).
La Rallongue, 625-550 (Prades 1985, p.27, fig.13, n°1-7).
La Rallongue, 625-550 (Prades 1985, p.28, fig.14, n°1).
Marseille, 560-540 (Sourisseau 1997, p.91, fig.31, n°2,14).
Marseille, 570-550 (Sourisseau 1997, p.109, fig.38, n°5).
Marseille, 580-560 (Sourisseau 1997, p.88, fig.28, n°6).
Marseille, 580-560 (Sourisseau 1997, p.89, fig.29, n°10).
Marseille, 600-580 (Sourisseau 1997, p.67, fig.21, n°8).
Marseille, 600-580 (Sourisseau 1997, p.85, fig.25, n°5).
Miet 3, 600-550 (Sourisseau 1997, p.382, fig.161, n°4).
Saint-Blaise, 600-550 (Bouloumié 1982a, p.42, fig.9, n°19).
Saint-Blaise, 625-525 (Bouloumié 1976, p.27, fig.2).
Saint-Blaise, 625-525 (Sourisseau 1997, p.369, fig.146, n°1-3).
Saint-Blaise, 625-525 (Sourisseau 1997, p.374, fig.151, n°1).
Saint-Pierre les Martigues, 600-550 (Lagrand 1979, p.95, fig.10, n°1).
Tamaris, 525-450 (Duval 1998, p.161, fig.31, n°207-208).
Tamaris, 575-525 (Duval 1998, p.156, fig.28, n°148-150).
Tonnerre, 625-550 (Prades 1985, p.122, fig.93, n°1).auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -625 TAQ : -525
A-ETR 3AB
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : Type 3A ou 3B; Py 2001, p.1244. description : Code réunissant les bords d'amphores étrusques A-ETR 3A et A-ETR 3B non attribuables avec certitude à l'une ou l'autre des deux formes, ces dernières se distinguant essentiellement par la largeur de la panse. Exemples :
Ampurias, 550-525 (Sanmarti 1991, p.91, fig.2, n°1-8).
Arles, 425-400 (Sourisseau 1997, p.293, fig.122, n°1).
Arles, 475-450 (Sourisseau 1997, p.288, fig.117, n°4,7,12).
Arles, 525-450 (Sourisseau 1997, p.296, fig.125, n°1).
Arles, 550-475 (Sourisseau 1997, p.286, fig.115, n°5,8,9,10).
Arles, 575-500 (Sourisseau 1997, p.297, fig.126, n°6).
Aspiran, 550-500 (Mauné 1998, p.64, fig.18, n°10-19).
Aumes, 575-525 (Hérubel 2000, p.90, fig.4, 4 ex.).
Aumes, 575-525 (Hérubel 2000, p.91, fig.5, 4 ex.).
Baou de Saint-Marcel, 560-540 (Guichard 1993, p.236, fig.7, n°67).
Baou de Saint-Marcel, 570-500 (Agostini 1980, p.134, fig.4, n°4).
Baou de Saint-Marcel, 600-500 (Agostini 1980, p.131, fig.2, n°6,7).
Baou de Saint-Marcel, 600-500 (Guichard 1993, p.244, fig.13, n°191).
Baou-Roux, 600-550 (Boissinot 1992, p.22, fig.3, n°1-4).
Baou-Roux, 600-550 (Boissinot 1992, p.27, fig.11, n°39).
Bramefan, 500-450 (Bofinger 1996, p.62, fig.7, n°10).
Camp-Redon, 625-550 (Prades 1985, p.105, fig.79, n°5-10).
Chatau-Wirant, 600-550 (Bouloumié 1983, p.61, n°5).
Chatau-Wirant, 600-550 (Bouloumié 1983, p.62, n°1-11).
Durban, 525-500 (Solier 1992, p.336, fig.12, n°5).
Ensérune, 575-525 (Hérubel 2000, p.95, fig.8, n°1,2,3).
Fontvieille, 600-525 (Carduner 1981, pl.19, n°3-10).
Forton, 600-550 (Prades 1985, p.112, fig.85, n°1-5).
Illa d'en Reixach, 575-500 (Martin 1976a, p.441, fig.9, n°1).
Illa d'en Reixach, 600-550 (Martín 1985, p.82, fig.3, n°1-4).
La Font du Coucou, 550-525 (Py 1975, p.40, fig.6, n°5).
La Font du Coucou, 550-525 (Py 1975, p.62, fig.23, n°4).
La Liquière, 575-500 (Py 1984, p.162, fig.118, n°9-12).
La Liquière, 575-500 (Py 1984, p.180, fig.132, n°16-21).
La Liquière, 575-500 (Py 1984, p.59, fig.39, n°6-19).
La Liquière, 575-550 (Py 1984, p.102, fig.75, n°14-22).
La Liquière, 575-550 (Py 1984, p.118, fig.88, n°2-20).
La Liquière, 575-550 (Py 1984, p.159, fig.117, n°4).
La Liquière, 575-550 (Py 1984, p.66, fig.44, n°10-17).
La Liquière, 600-575 (Py 1984, p.113, fig.84, n°7-10).
La Liquière, 600-575 (Py 1984, p.156, fig.115, n°3-6).
La Liquière, 600-575 (Py 1984, p.176, fig.130, n°2-7).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.150, fig.111, n°6-9).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.171, fig.126, n°6).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.27, fig.11, n°5-11).
La Monédière, 500-475 (Nickels 1976a, p.115, fig.16, n°16,22).
La Monédière, 500-475 (Nickels 1989, p.71, fig.19, n°4).
La Monédière, 525-500 (Nickels 1989, p.85, fig.30, n°16,20).
La Monédière, 525-500 (Nickels 1989, p.91, fig.35, n°10,13).
La Monédière, 550-525 (Nickels 1989, p.65, fig.15, n°32-34).
La Monédière, 575-525 (Nickels 1976a, p.108, fig.13, n°39-41).
La Monédière, 575-525 (Nickels 1976a, p.117, fig.17, n°13).
La Monédière, 575-525 (Nickels 1989, p.82, fig.27, n°39-42).
La Monédière, 575-550 (Nickels 1989, p.105, fig.44, n°8-11).
La Monédière, 600-500 (Marchand 1982, p.151, fig.5).
La Monédière, 600-525 (Nickels 1989, p.89, fig.33, n°13,44).
La Monédière, 600-550 (Hérubel 2000, p.92, fig.6, 9 ex.).
La Monédière, 600-550 (Nickels 1989, p.110, fig.48, n°1-4).
La Monédière, 600-575 (Nickels 1989, p.56, fig.7, n°30).
La Monédière, 600-575 (Nickels 1989, p.62, fig.12, n°18).
La Rallongue, 575-550 (Savay-Guerraz 1985, p.17, fig.10, n°93).
La Rallongue, 575-550 (Savay-Guerraz 1985, p.21, fig.11, n°112-115).
La Rallongue, 575-550 (Savay-Guerraz 1985, p.9, fig.4, n°1-4).
La Rallongue, 625-550 (Prades 1985, p.25, fig.12, n°2-16).
La Rallongue, 625-550 (Prades 1985, p.27, fig.13, n°10-14).
La Rallongue, 625-575 (Savay-Guerraz 1985, p.21, fig.11, n°133,144).
La Redoute, 525-400 (Dedet 1978, p.38, fig.22, n°16).
La Redoute, 530-500 (Dedet 1978, p.61, fig.41, n°11,12).
La Redoute, 600-550 (Dedet 1978, p.63, fig.42, n°2).
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°9)
Lattes, 625-525 (Py 2001, n°2)
Lattes, 625-525 (Py 2001, n°3)
Lattes, 625-525 (Py 2001, n°4)
Lattes, 625-525 (Py 2001, n°5)
Lattes, 625-525 (Py 2001, n°6)
Lattes, 625-525 (Py 2001, n°7)
Lattes, 625-525 (Py 2001, n°8)
Le Marduel, 525-525 (Py 1994, p.220, fig.22, n°2).
Le Marduel, 600-550 (Py 1989, p.160, fig.39, n°24).
Le Marduel, 600-550 (Py 1994, p.214, fig.16, n°10-12).
Les Gardies, 500-475 (Raynaud 1983, p.52, fig.28, n°39).
Les Gardies, 525-450 (Raynaud 1983, p.51, fig.27, n°55).
Les Gardies, 525-500 (Raynaud 1983, p.53, fig.29, n°51).
Mailhac, 600-475 (Louis 1955, p.104, fig.72, n°1).
Marseille, 450-425 (Sourisseau 1997, p.113, fig.42, n°3).
Marseille, 500-400 (Sourisseau 1997, p.39, fig.11, n°1).
Marseille, 525-450 (Sourisseau 1997, p.211, fig.72, n°1,6).
Marseille, 525-500 (Sourisseau 1997, p.238, fig.97, n°4,5).
Marseille, 550-450 (Sourisseau 1997, p.44, fig.16, n°4,5,10,11).
Marseille, 550-475 (Sourisseau 1997, p.198, fig.59, n°1-6).
Marseille, 550-500 (Sourisseau 1997, p.35, fig.7, n°1).
Marseille, 550-525 (Sourisseau 1997, p.230, fig.89, n°2-6).
Marseille, 550-525 (Sourisseau 1997, p.231, fig.90, n°1-2,8-10).
Marseille, 560-520 (Sourisseau 1997, p.129, fig.44, n°4,5,6,8).
Marseille, 560-540 (Sourisseau 1997, p.91, fig.31, n°1,4-7,9-11,13).
Marseille, 560-540 (Sourisseau 1997, p.92, fig.32, n°3,5,6,7).
Marseille, 570-550 (Sourisseau 1997, p.109, fig.38, n°1-4,6-12).
Marseille, 570-550 (Sourisseau 1997, p.110, fig.39, n°5,6).
Marseille, 570-550 (Sourisseau 1997, p.111, fig.40, n°1-5).
Marseille, 580-560 (Sourisseau 1997, p.88, fig.28, n°1,3,5,6,7,8,9,11,12).
Marseille, 580-560 (Sourisseau 1997, p.89, fig.29, n°7,8,9,12,13).
Marseille, 600-400 (Sourisseau 1997, p.46, fig.18, n°1-14).
Marseille, 600-525 (Py 1985a, p.79, fig.5, n°9,10).
Marseille, 600-580 (Sourisseau 1997, p.67, fig.21, n°1-5,6).
Marseille, 600-580 (Sourisseau 1997, p.68, fig.22, n°1-15).
Marseille, 600-580 (Sourisseau 1997, p.85, fig.25, n°7,4,6,7,8).
Marseille, 600-580 (Sourisseau 1997, p.86, fig.26, n°2,6,7,8).
Martigues, 480-450 (Sourisseau 1997, p.331, fig.138, n°5,6).
Martigues, 525-480 (Sourisseau 1997, p.326, fig.133, n°1-5).
Mont-Garou, 600-500 (Carduner 1981, pl.35, n°2,3).
Mont-Garou, 600-500 (Carduner 1981, pl.36, n°1-4,6,7).
Montjean, 575-525 (Py 1985a, p.77, fig.4, n°7).
Notre-Dame de Consolation, 600-500 (Solier 1992, p.362, fig.47, n°2).
Pech-Maho, 575-525 (Gailledrat 1999, p.12, fig.2, n°1-7).
Pech-Maho, 575-525 (Hérubel 2000, p.96, fig.9, n°1-10).
Saint-Blaise, 550-400 (Bouloumié 1982a, p.59, fig.14, n°67-70).
Saint-Blaise, 600-500 (Bouloumié 1982a, p.71, fig.18, n°6,10).
Saint-Blaise, 600-550 (Bouloumié 1982a, p.51, fig.11, n°25).
Saint-Blaise, 625-525 (Sourisseau 1997, p.375, fig.152, n°1-8).
Saint-Blaise, 625-550 (Py 1985a, p.77, fig.4, n°2-5).
Simiane-Collongue, 600-525 (Arcelin 1982b, p.36, fig.8, n°107,108).
Tamaris, 525-450 (Duval 1998, p.161, fig.31, n°203-221).
Tamaris, 550-475 (Duval 1998, p.144, fig.21, n°203-223).
Tamaris, 575-525 (Duval 1998, p.155, fig.27, n°128-141).
Tamaris, 625-550 (Duval 1998, p.164, fig.33, n°278).
Tamaris, 625-550 (Duval 1998, p.166, fig.34, n°284-288).
Tamaris, 625-575 (Duval 1998, p.161, fig.31, n°30,31).
Tonnerre I, 550-525 (Py 1985, p.54, fig.33, n°1,2).
Tonnerre I, 575-550 (Py 1985, p.57, fig.34, n°5-9).
Tonnerre I, 600-575 (Py 1985, p.60, fig.35, n°1-3,5-10).
Tonnerre I, 625-600 (Py 1985, p.65, fig.38, n°1,2).
Tonnerre, 625-550 (Prades 1985, p.122, fig.93, n°2-5).
Ullastret, 600-550 (Martín 1985, p.84, fig.5, n°3).auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -625 TAQ : -525
A-ETR 3B
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : Py 1985. équivalences : Py 1974, forme 3B; Bouloumié 1980, forme 2B; Carduner 1981, forme 3; Marchand 1982, types A(a-c) et B(a-b); Gras 1985, groupe EMC (3). description : Panse fuselée étroite; lèvre courte sur petit col bien dégagé; anses à profil ovale et section ronde à la base; fond en pointe ou en obus, rarement bombé; mêmes variantes de pâte et même engobe que 3A. Exemples :
Agde, 525-450 (Nickels 1995, p.65, fig.4, n°30).
Agde, 550-525 (Nickels 1995, p.63, fig.3, n°23).
Agde, 575-525 (Bouscaras 1964, p.267, fig.1).
Antibes, 575-550 (Bouloumié 1982, p.11, fig.3, n°155-158).
Antibes, 575-550 (Bouloumié 1982, p.9, fig.2, n°151-154).
Balaruc, 525-500 (Bermond 1998, p.38, fig.10, n°1).
Baou de Saint-Marcel, 550-525 (Gantès 1980, p.84, fig.12, n°17).
Baou-Roux, 600-550 (Boissinot 1992, p.27, fig.11, n°38).
Castelnau-de-Guers, 575-550 (Houlès 1992, p.436, fig.3, n°1).
Ecueil du Miet, 550-525 (Pomey 1992, p.191, fig.2).
Ensérune, 575-525 (Hérubel 2000, p.95, fig.8, n°5).
La Liquière, 625-600 (Py 1984, p.150, fig.111, n°10).
La Monédière, 575-525 (Nickels 1989, p.99, fig.40, n°14).
La Monédière, 600-575 (Nickels 1989, p.104, fig.43, n°17).
La Moulinasse, 550-525 (Passelac 1995, p.183, fig.11, n°2).
La Rallongue, 575-550 (Savay-Guerraz 1985, p.17, fig.10, n°103).
La Rallongue, 625-550 (Prades 1985, p.27, fig.13, n°8,9).
Mailhac, 600-525 (Py 1985a, p.79, fig.5, n°2,3).
Mailhac, 600-550 (Taffanel 1962, p.162, fig.5).
Marseille, 550-525 (Sourisseau 1997, p.230, fig.89, n°1).
Marseille, 560-520 (Sourisseau 1997, p.129, fig.44, n°9).
Marseille, 560-540 (Sourisseau 1997, p.91, fig.31, n°3,8,12,15).
Marseille, 560-540 (Sourisseau 1997, p.92, fig.32, n°4,8).
Marseille, 570-550 (Sourisseau 1997, p.110, fig.39, n°7-10).
Marseille, 575-500 (Sourisseau 1997, p.268, fig.113, n°3).
Marseille, 575-525 (Gallia 1975, p.583, fig.16).
Marseille, 580-560 (Sourisseau 1997, p.88, fig.28, n°2,10).
Marseille, 600-500 (Gantès 1990, p.70).
Marseille, 600-580 (Sourisseau 1997, p.67, fig.21, n°4,7).
Marseille, 600-580 (Sourisseau 1997, p.85, fig.25, n°2,3,9).
Marseille, 600-580 (Sourisseau 1997, p.86, fig.26, n°9).
Miet 3, 600-550 (Sourisseau 1997, p.382, fig.161, n°1-3).
Mont-Garou, 600-500 (Carduner 1981, pl.36, n°5,8).
Mont-Joui, 550-500 (Nickels 1987, p.13, fig.10, n°2,3,6).
Montfo, 600-500 (Bacou 1982, p.75, fig.14, n°1-3).
Pech-Maho, 575-525 (Hérubel 2000, p.96, fig.9, n°7).
Pech-Maho, 600-525 (Py 1985a, p.79, fig.5, n°1).
Pézenas, 575-500 (Hérubel 2000, p.101, fig.12, 5 ex.).
Pézenas, 575-500 (Hérubel 2000, p.102, fig.13, 5 ex.).
Pézenas, 575-500 (Hérubel 2000, p.103, fig.14, n°1-5).
Pézenas, 575-500 (Hérubel 2000, p.103, fig.15, 15 ex.).
Pézenas, 575-500 (Hérubel 2000, p.103, fig.16, 10 ex.).
Saint-Blaise, 625-525 (Bouloumié 1976, p.31, fig.6).
Saint-Blaise, 625-525 (Py 1985a, p.79, fig.5, n°11-14).
Saint-Blaise, 625-525 (Sourisseau 1997, p.370, fig.147, n°1-4).
Saint-Blaise, 625-525 (Sourisseau 1997, p.371, fig.148, n°1-12).
Saint-Blaise, 625-525 (Sourisseau 1997, p.372, fig.149, n°1-9).
Saint-Blaise, 625-525 (Sourisseau 1997, p.374, fig.151, n°2-8).
Saint-Pierre les Martigues, 600-500 (Lagrand 1979, p.95, fig.10, n°2).
Ullastret, 550-525 (Oliva 1959, p.369, fig.2).auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -625 TAQ : -525
A-ETR 3C
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : Py 1985. équivalences : Py 1974, formes 3A5 récentes; Marchand 1982, types B(c-e); Gras 1985, groupe EME. description : Forme pansue; bord en bourrelet allongé de grosse taille; anses massives à section ronde; fond pointu ou légèrement aplati; pâte brun-rouge ou rouge à épais engobe blanc. Exemples :
Ampurias, 450-400 (Sanmarti 1986, p.96, fig.18, n°11).
Arles, 475-450 (Sourisseau 1997, p.288, fig.117, n°9,10).
Arles, 525-400 (Sourisseau 1997, p.297, fig.126, n°1-4).
Baou de Saint-Marcel, 500-450 (Guichard 1993, p.244, fig.13, n°190).
Baou de Saint-Marcel, 525-475 (Rayssiguier 1983, p.74, fig.11, n°53).
Baou de Saint-Marcel, 525-500 (Gantès 1980, p.80, fig.14, n°5,8).
Baou de Saint-Marcel, 550-525 (Gantès 1980, p.82, fig.15, n°17,18).
Béziers, 475-400 (Ugolini 1991, p.180, fig.26, n°14).
Bon-Porté, 550-500 (Liou 1974, p.10, fig.1, n°1-2).
Ensérune, 525-400 (Hérubel 2000, p.95, fig.8, n°6).
Fontvieille, 500-400 (Carduner 1981, pl.19, n°1).
Gailhan, 450-400 (Dedet 1990a, p.44, fig.18, n°5).
Gailhan, 475-425 (Dedet 1987a, p.133, fig.140, n°6).
Gailhan, 500-475 (Dedet 1980, p.19, fig.16, n°7).
Gailhan, 500-475 (Dedet 1980, p.28, fig.24, n°9,10).
Gailhan, 500-475 (Dedet 1980, p.30, fig.25, n°15).
Gailhan, 500-475 (Dedet 1980, p.66, fig.58, n°8).
Gaujac, 425-400 (Charmasson 1982a, p.126, fig.42, n°267).
Gaujac, 525-450 (Charmasson 1981, p.82, fig.5, n°54).
Gènes, 400-300 (Milanese 1987, p.241, fig.105, n°673).
Gènes, 475-450 (Milanese 1987, p.233, fig.102, n°631).
Gènes, 475-450 (Milanese 1987, p.261, fig.112, n°759).
La Chazette, 450-400 (Michelozzi 1980, p.129, fig.4, n°2,3).
La Font du Coucou, 550-525 (Py 1975, p.40, fig.6, n°4).
La Monédière, 500-475 (Nickels 1976a, p.115, fig.16, n°19-21).
La Monédière, 500-475 (Nickels 1989, p.94, fig.36, n°12-16).
La Monédière, 525-475 (Marchand 1982, p.156, fig.9).
La Monédière, 525-500 (Nickels 1989, p.85, fig.30, n°17,18,22).
La Monédière, 525-500 (Nickels 1989, p.91, fig.35, n°14).
La Monédière, 550-500 (Nickels 1989, p.68, fig.17, n°29).
Lattes, 325-300 [phase 1F] (Py 2001, n°24)
Lattes, 375-325 [phase 22-33D] (Py 2001, n°28)
Lattes, 375-350 [phase 1H1] (Py 2001, n°27)
Lattes, 400-350 (Py 2001, n°23)
Lattes, 400-375 (Py 2001, n°22)
Lattes, 450-425 (Py 2001, n°13)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°11)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°12)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°17)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°18)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°19)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°20)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°21)
Lattes, 500-400 (Py 2001, n°16)
Lattes, 500-400 (Py 2001, n°25)
Lattes, 500-475 (Py 2001, n°15)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°10)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°14)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°26)
Lattes, vers 350 [phase 27D2] (Py 2001, n°29)
Lattes, vers 400 (Py 2001, n°30)
Le Marduel, 400-375 (Py 1989, p.142, fig.18, n°25).
Le Marduel, 440-420 (Py 1992, p.288, fig.26, n°8).
Le Marduel, 450-440 (Py 1992, p.272, fig.12, n°33,34).
Le Marduel, 475-450 (Py 1994, p.242, fig.44, n°9-11).
Le Marduel, 525-475 (Py 1982, p.22, fig.22, n°5).
Le Marduel, 525-475 (Py 1994, p.228, fig.30, n°15,16).
Le Marduel, 525-525 (Py 1994, p.220, fig.22, n°1,3).
Les Gardies, 500-450 (Raynaud 1983, p.29, fig.7, n°13).
Les Gardies, 500-450 (Raynaud 1983, p.38, fig.16, n°43).
Marseille, 400-350 (Sourisseau 1997, p.40, fig.12, n°5).
Marseille, 450-400 (Sourisseau 1997, p.224, fig.85, n°2).
Marseille, 475-450 (Sourisseau 1997, p.245, fig.104, n°5).
Marseille, 525-400 (Sourisseau 1997, p.46, fig.18, n°10,11).
Marseille, 525-450 (Sourisseau 1997, p.211, fig.72, n°9-12).
Marseille, 525-500 (Sourisseau 1997, p.131, fig.46, n°9,11).
Marseille, 525-500 (Sourisseau 1997, p.238, fig.97, n°2,3).
Marseille, 550-450 (Sourisseau 1997, p.44, fig.16, n°8,9).
Martigues, 480-450 (Sourisseau 1997, p.331, fig.138, n°7).
Martigues, 525-400 (Sourisseau 1997, p.335, fig.142, n°6-8).
Mont-Garou, 400-375 (Arcelin 1982a, p.93, fig.25, n°252,253).
Mont-Garou, 475-400 (Arcelin 1982a, p.89, fig.23, n°194).
Mont-Garou, 525-400 (Carduner 1981, pl.34, n°7).
Mont-Garou, 525-400 (Carduner 1981, pl.35b, n°11-15).
Mont-Garou, 525-475 (Arcelin 1982a, p.86, fig.21, n°144-145).
Montjean, 500-450 (Py 1985a, p.77, fig.4, n°7).
Mont-Joui, 550-475 (Nickels 1987, p.26, fig.20, n°4-6).
Mont-Joui, 550-475 (Nickels 1987, p.38, fig.29, n°1,3,4).
Montjean, 500-400 (Wallon 1968, p.229, fig.12).
Nimes, 500-450 (Py 1981, p.55, fig.23, n°20).
Pech-Maho, 525-475 (Gailledrat 1999, p.12, fig.2, n°8,15).
Pech-Maho, 525-475 (Hérubel 2000, p.96, fig.9, n°12-14).
Peyrouse, 500-450 (Py 1998, p.188, fig.7, n°11).
Puech-Crochu, 525-475 (Garcia 1993, p.178, fig.74, n°2,3).
Roque de Viou, 375-325 (Garmy 1980, p.47, fig.18, n°2).
Saint-Blaise, 400-300 (Bouloumié 1982a, p.121, fig.35, n°9).
Saint-Blaise, 525-400 (Sourisseau 1997, p.373, fig.150, n°1-2).
Saint-Laurent de Carnols, 525-500 (Dedet 1995b, p.290, fig.12, n°1).
Saint-Pierre les Martigues, 550-450 (Lagrand 1979, p.95, fig.10, n°4,7,8).
Sauvian, 450-300 (Ugolini 1998, p.103, fig.15, n°1).
Villevieille, 500-400 (Py 1975, p.115, fig.54, n°5-6).
Villevieille, 500-400 (Py 1975, p.116, fig.55, n°1-3).
Villevieille, 500-400 (Py 1975, p.117, fig.56, n°1).
Villevieille, 525-400 (Py 1971a, p.226, fig.10, n°41,44).auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -525 TAQ : -375
A-ETR 4
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : Py 1985. équivalences : Py 1974, forme 4; Bouloumié 1980, forme 2C ; Carduner 1981, formes 4A et 4B; Marchand 1982, types A(c-e); Gras 1985, groupe EMD(1). description : Forme ovoïde plus ou moins pansue (cf. variantes 4-1 et 4-2), lèvre à section ovale allongée; bord soudé à la panse, sans col dégagé; anses de section ronde massives; fond en pointe aplatie; plusieurs couleurs de pâte, notamment pâte brune ou brun-rouge à cœur gris-noir et dégraissant volcanique, pâte intégralement rouge-orangé et dégraissant de sable micacé et de mica noir…; engobe crème peu épais et peu résistant. Exemples :
Agde, 475-450 (Nickels 1995, p.70, fig.7, n°5).
Agde, 525-450 (Nickels 1995, p.65, fig.4, n°,731).
Ampurias, 375-350 (Sanmarti 1988b, p.135, fig.16, n°20).
Ampurias, 450-400 (Sanmarti 1986c, p.179, fig.19, n°1).
Ampurias, 500-400 (Del Mar 1996, p.85, pl.3).
Ampurias, 525-500 (Sanmarti 1974, p.55, fig.1, n°A,B,C,D).
Arles, 450-425 (Sourisseau 1997, p.290, fig.119, n°9).
Arles, 475-450 (Sourisseau 1997, p.288, fig.117, n°5,6,8).
Arles, 525-450 (Sourisseau 1997, p.296, fig.125, n°2-11).
Arles, 550-475 (Sourisseau 1997, p.286, fig.115, n°6,7).
Aumes, 525-450 (Hérubel 2000, p.90, fig.4, 13 ex.).
Aumes, 525-450 (Hérubel 2000, p.91, fig.5, 3 ex.).
Baou de Saint-Marcel, 525-475 (Gantès 1980, p.75, fig.10, n°22).
Baou de Saint-Marcel, 525-475 (Guichard 1993, p.252, fig.19, n°311).
Baou-Roux, 500-400 (Boissinot 1992, p.22, fig.3, n°5).
Bergerie Hermet, 500-480 (Dedet 1973a, p.44, fig.9, n°8).
Béziers, 475-400 (Ugolini 1991, p.180, fig.26, n°1-3).
Béziers, 500-450 (Ugolini 1987, p.24, fig.11, n°34).
Cap de Creus, 525-400 (Martín 1985, p.87, fig.8).
Ensérune, 525-450 (Hérubel 2000, p.95, fig.8, n°4).
Espeyran, 425-400 (Barruol 1978, p.40, fig.19, n°2).
Fontvieille, 525-450 (Carduner 1981, pl.19, n°2).
Gailhan, 400-375 (Dedet 1987a, p.90, fig.96, n°25).
Gailhan, 475-425 (Dedet 1980, p.43, fig.37, n°3-6).
Gailhan, 475-425 (Dedet 1980, p.46, fig.39, n°19).
Gailhan, 475-425 (Dedet 1987a, p.133, fig.140, n°7).
Gailhan, 500-475 (Dedet 1980, p.28, fig.24, n°11).
Gailhan, 525-500 (Dedet 1980, p.16, fig.14, n°4).
Gaujac, 425-400 (Charmasson 1982a, p.126, fig.42, n°266,268).
Gaujac, 525-450 (Charmasson 1981, p.82, fig.5, n°52).
Gènes, 400-350 (Milanese 1982a, p.349, fig.3).
Gènes, 450-400 (Milanese 1987, p.223, fig.99, n°590-592).
Gènes, 475-450 (Milanese 1987, p.261, fig.112, n°757,758).
Gènes, 525-475 (Milanese 1987, p.265, fig.114, n°799).
La Chazette, 450-400 (Michelozzi 1980, p.129, fig.4, n°4).
La Conque, 500-450 (Bermond 1998, p.41, fig.13, n°4,5).
La Font du Coucou, 525-475 (Py 1975, p.46, fig.8, n°1).
La Jouffe, 550-500 (Dedet 1995b, p.286, fig.6, n°4).
La Liquière, 550-500 (Py 1984, p.180, fig.132, n°22).
La Liquière, 550-500 (Py 1984, p.188, fig.135, n°13).
La Liquière, 550-500 (Py 1984, p.59, fig.39, n°22).
La Monédière, 500-450 (Nickels 1989, p.76, fig.23, n°1).
La Monédière, 500-475 (Nickels 1976a, p.115, fig.16, n°17,18).
La Monédière, 500-475 (Nickels 1989, p.94, fig.36, n°17,18).
La Monédière, 525-425 (Marchand 1982, p.152, fig.6).
La Monédière, 525-475 (Nickels 1976a, p.117, fig.17, n°17,18).
La Monédière, 525-500 (Nickels 1989, p.68, fig.17, n°34,35).
La Monédière, 525-500 (Nickels 1989, p.85, fig.30, n°19,21).
Lattes, 300-275 [phase 22-33C] (Py 2001, n°109)
Lattes, 325-300 (Py 2001, n°107)
Lattes, 325-300 (Py 2001, n°108)
Lattes, 325-300 (Py 2001, n°106)
Lattes, 350-325 [phase 1G1] (Py 2001, n°124)
Lattes, 350-325 [phase 1G1] (Py 2001, n°142)
Lattes, 375-350 [phase 1H1] (Py 2001, n°105)
Lattes, 375-350 [phase 1H1] (Py 2001, n°134)
Lattes, 400-375 (Py 2001, n°104)
Lattes, 400-375 [phase 4sG] (Py 2001, n°141)
Lattes, 425-350 (Py 2001, n°139)
Lattes, 425-400 (Py 2001, n°36)
Lattes, 450-400 (Py 2001, n°101)
Lattes, 450-400 (Py 2001, n°102)
Lattes, 450-400 (Py 2001, n°103)
Lattes, 450-400 (Py 2001, n°132)
Lattes, 450-400 (Py 2001, n°133)
Lattes, 450-400 (Py 2001, n°138)
Lattes, 450-425 (Py 2001, n°100)
Lattes, 450-425 (Py 2001, n°123)
Lattes, 450-425 (Py 2001, n°131)
Lattes, 450-425 (Py 2001, n°99)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°122)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°128)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°129)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°130)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°147)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°148)
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Lattes, 475-425 (Py 2001, n°157)
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Lattes, 475-425 (Py 2001, n°96)
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Lattes, 475-425 (Py 2001, n°98)
Lattes, 500-400 (Py 2001, n°156)
Lattes, 500-400 (Py 2001, n°85)
Lattes, 500-400 (Py 2001, n°86)
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Lattes, 500-400 (Py 2001, n°88)
Lattes, 500-450 (Py 2001, n°84)
Lattes, 500-475 (Py 2001, n°121)
Lattes, 500-475 (Py 2001, n°127)
Lattes, 500-475 (Py 2001, n°137)
Lattes, 500-475 (Py 2001, n°83)
Lattes, 525-400 (Py 2001, n°136)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°115)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°116)
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Lattes, 525-450 (Py 2001, n°120)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°126)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°146)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°153)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°154)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°155)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°76)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°77)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°78)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°79)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°80)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°81)
Lattes, 525-450 (Py 2001, n°82)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°114)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°135)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°145)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°152)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°31)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°32)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°33)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°34)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°35)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°64)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°65)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°66)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°67)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°68)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°69)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°70)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°71)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°72)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°73)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°74)
Lattes, 525-475 (Py 2001, n°75)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°110)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°111)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°112)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°113)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°125)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°143)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°144)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°150)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°151)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°37)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°38)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°39)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°40)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°41)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°42)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°43)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°44)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°45)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°46)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°47)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°48)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°49)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°50)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°51)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°52)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°53)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°54)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°55)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°56)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°57)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°58)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°59)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°60)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°61)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°62)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°63)
Lattes, vers 400 (Py 2001, n°140)
Le Grau-du-Roi, 525-450 (Granier 1965, p.255, fig.2, n°1,2).
Le Marduel, 450-440 (Py 1992, p.272, fig.12, n°31,35).
Le Marduel, 475-450 (Py 1994, p.242, fig.44, n°3-8).
Le Marduel, 525-475 (Py 1982, p.22, fig.22, n°11,12).
Le Marduel, 525-475 (Py 1994, p.228, fig.30, n°17,18).
Lequin 1A, 525-500 (Long 1992, p.227, fig.47, n°1).
Les Gardies, 450-425 (Raynaud 1983, p.35, fig.13, n°30).
Les Gardies, 450-425 (Raynaud 1983, p.37, fig.15, n°20-22).
Les Gardies, 450-425 (Raynaud 1983, p.46, fig.22, n°29-31).
Les Gardies, 500-450 (Raynaud 1983, p.29, fig.7, n°11,12).
Les Gardies, 500-450 (Raynaud 1983, p.30, fig.8, n°19,39-41).
Les Gardies, 500-475 (Raynaud 1983, p.52, fig.28, n°38).
Lyon, 500-450 (Bellon 1992, p.280, fig.10, n°3,4).
Mailhac, 525-475 (Louis 1955, p.104, fig.72, n°2).
Marseille, 425-400 (Sourisseau 1997, p.113, fig.42, n°11).
Marseille, 450-400 (Sourisseau 1997, p.224, fig.85, n°1).
Marseille, 450-425 (Sourisseau 1997, p.113, fig.42, n°2).
Marseille, 500-400 (Sourisseau 1997, p.39, fig.11, n°2).
Marseille, 500-475 (Sourisseau 1997, p.242, fig.101, n°1-3).
Marseille, 525-400 (Sourisseau 1997, p.46, fig.18, n°3).
Marseille, 525-450 (Sourisseau 1997, p.211, fig.72, n°2,4,5).
Marseille, 550-450 (Sourisseau 1997, p.44, fig.16, n°6,7).
Marseille, 550-475 (Sourisseau 1997, p.198, fig.59, n°7-11).
Marseille, 550-500 (Sourisseau 1997, p.35, fig.7, n°2,4).
Martigues, 450-400 (Sourisseau 1997, p.333, fig.140, n°2,3).
Martigues, 480-450 (Sourisseau 1997, p.331, fig.138, n°1-4).
Martigues, 525-400 (Sourisseau 1997, p.335, fig.142, n°1-5).
Martigues, 525-480 (Sourisseau 1997, p.326, fig.133, n°6-8).
Mauressip, 425-375 (Py 1974, p.248, fig.43, n°216).
Mont-Garou, 400-375 (Arcelin 1982a, p.93, fig.25, n°254,255).
Mont-Garou, 475-400 (Arcelin 1982a, p.89, fig.23, n°193).
Mont-Garou, 525-400 (Carduner 1981, pl.34, n°1,4,8).
Mont-Garou, 525-400 (Carduner 1981, pl.35b, n°16-19).
Mont-Garou, 525-475 (Arcelin 1982a, p.86, fig.21, n°146).
Mont-Joui, 525-475 (Nickels 1987, p.26, fig.20, n°1-2).
Mont-Joui, 525-475 (Nickels 1987, p.27, fig.21, n°2).
Mont-Joui, 525-475 (Nickels 1987, p.38, fig.29, n°2).
Montjean, 500-400 (Wallon 1968, p.228, fig.11).
Nimes, 500-450 (Py 1981, p.55, fig.23, n°18,19).
Nimes, 525-475 (Py 1981, p.80, fig.39, n°13-16).
Petit Campdumy, 500-400 (Bérato 2000, p.152, fig.9, n°11).
Pézenas, 525-475 (Py 1985a, p.80, fig.6, n°3).
Puech-Crochu, 525-475 (Garcia 1993, p.178, fig.74, n°1).
Saint-Blaise, 500-400 (Bouloumié 1982a, p.105, fig.30, n°16).
Saint-Blaise, 525-400 (Bouloumié 1982a, p.59, fig.14, n°71).
Saint-Blaise, 525-400 (Sourisseau 1997, p.371, fig.148, n°13-15).
Saint-Blaise, 525-450 (Bouloumié 1976, p.33, fig.8).
Saint-Dionisy, 525-475 (Py 1974, p.244, fig.39, n°193).
Saint-Dionisy, 525-475 (Py 1974, p.245, fig.40, n°194-196).
Saint-Pierre les Martigues, 525-450 (Lagrand 1979, p.95, fig.10, n°5-6).
Villevieille, 500-400 (Py 1975, p.117, fig.56, n°3,4).
Villevieille, 500-400 (Py 1975, p.118, fig.57, n°1-5).
Villevieille, 500-400 (Py 1975, p.119, fig.58, n°1-5).
Villevieille, 500-400 (Py 1975, p.120, fig.59, n°1-2).
Villevieille, 500-400 (Py 1975, p.85, fig.24, n°6).
Villevieille, 525-400 (Py 1971a, p.226, fig.10, n°42-43).auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -525 TAQ : -375
A-ETR 4-1
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore description : Variante de la fome A-ETR 4 à panse globuleuse, large. auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -525 TAQ : -375
A-ETR 4-2
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore description : Variante de la fome A-ETR 4 à panse effilée, étroite. auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -525 TAQ : -375
A-ETR 4A
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : Py 1985. équivalences : Marchand 1982, type A(f); Gras 1985, groupe EMD(2). description : Profil ovoïde ou plus fuselée; anses à section ronde; fond en obus bombé ou avec amorce de pointe dans les exemplaires les plus récents (cf. Aléria: Jehasse 1973); bord caractéristique, très allongé, rectiligne et évasé, peu ou pas épaissi. Exemples :
Aléria, 300-250 (Jehasse 1973, fig.143, n°1356).
Aléria, 340-300 (Jehasse 1973, fig.143, n°950).
Arles, 450-400 (Sourisseau 1997, p.296, fig.125, n°12,13).
Arles, 450-425 (Sourisseau 1997, p.290, fig.119, n°8).
Arles, 475-450 (Sourisseau 1997, p.288, fig.117, n°11).
Béziers, 450-400 (Ugolini 1991, p.180, fig.26, n°2-13).
Ensérune, 400-300 (Hérubel 2000, p.95, fig.8, n°7).
Gailhan, 450-400 (Dedet 1990a, p.41, fig.16, n°1).
Gailhan, 450-400 (Dedet 1990a, p.44, fig.18, n°6,7).
Gaujac, 450-400 (Charmasson 1981, p.82, fig.5, n°53).
Gènes, 400-350 (Milanese 1987, p.195, fig.90, n°439).
La Monédière, 425-400 (Marchand 1982, p.152, fig.6, n°7).
La Monédière, 425-400 (Marchand 1982, p.153, fig.7, n°48,108,120).
La Monédière, 450-425 (Nickels 1989, p.74, fig.21, n°10).
La Monédière, 450-425 (Nickels 1989, p.79, fig.26, n°9).
Lattes, 375-350 [phase 1H1] (Py 2001, n°173)
Lattes, 375-350 [phase 27D3] (Py 2001, n°174)
Lattes, 400-350 (Py 2001, n°169)
Lattes, 400-350 (Py 2001, n°170)
Lattes, 400-350 (Py 2001, n°171)
Lattes, 400-350 (Py 2001, n°172)
Lattes, 400-375 [phase 1I] (Py 2001, n°168)
Lattes, 425-375 (Py 2001, n°165)
Lattes, 425-400 (Py 2001, n°164)
Lattes, 450-400 (Py 2001, n°159)
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Lattes, 450-400 (Py 2001, n°161)
Lattes, 450-400 (Py 2001, n°162)
Lattes, 450-400 (Py 2001, n°163)
Lattes, vers 350 [phase 1G2] (Py 2001, n°175)
Lattes, vers 400 (Py 2001, n°166)
Lattes, vers 400 (Py 2001, n°167)
Le Marduel, 440-420 (Py 1992, p.288, fig.26, n°9).
Le Marduel, 450-400 (Py 1982, p.22, fig.22, n°9).
Le Trayas, 450-400 (Py 1985a, p.83, fig.8, n°1).
Marseille, 425-400 (Sourisseau 1997, p.247, fig.106, n°4-7).
Mauressip, 425-375 (Py 1978b, p.54, fig.14, n°8).
Mont-Garou, 400-375 (Arcelin 1982a, p.93, fig.25, n°256).
Roses, 400-300 (Martín 1982, p.114, fig.2, n°2).
Ullastret, 450-400 (Martín 1985, p.86, fig.6).auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -400 TAQ : -250
A-ETR 5
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : Py 1985. équivalences : Bouloumié 1980, forme 3; Carduner 1981, formes 5A et 5B; Gras 1985, groupe EMA(3 et 4). Type dit "de Bon-Porté": description : Forme pansue plus ou moins allongée; lèvre en bourrelet épais, parfois pendant à l'extérieur, parfois allongé; anses à profil rond ou ovale, pouvant dépasser le niveau de l'embouchure; fond plat de diamètre variable, rarement concave; pâtes le plus souvent de ton jaune ou orangé. Exemples :
Ampurias, 550-500 (Sanmarti 1991, p.92, fig.3, n°1-8).
Bon-Porté, 550-500 (Bouloumié 1976A, p.214, fig.1).
Bon-Porté, 550-500 (Liou 1974, p.10, fig.1, n°3-4).
Dattier, 550-500 (Liou 1974, p.10, fig.1, n°5).
Gènes, 400-350 (Milanese 1987, p.207, fig.95, n°536).
Gènes, 450-400 (Milanese 1987, p.223, fig.99, n°593).
Gènes, 475-450 (Milanese 1987, p.233, fig.102, n°629,630).
La Monédière, 475-425 (Nickels 1989, p.77, fig.24, n°17).
La Monédière, 525-475 (Marchand 1982, p.153, fig.7, en bas).
La Monédière, 525-500 (Nickels 1989, p.91, fig.35, n°15).
Lattes, 350-325 [phase 7eH2] (Py 2001, n°183)
Lattes, 450-425 (Py 2001, n°179)
Lattes, 450-425 (Py 2001, n°184)
Lattes, 450-425 (Py 2001, n°185)
Lattes, 475-400 (Py 2001, n°177)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°176)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°180)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°181)
Lattes, 475-425 (Py 2001, n°182)
Lattes, 525-500 (Py 2001, n°178)
Lattes, vers 400 [phase 1L] (Py 2001, n°186)
Marseille, 550-500 (Sourisseau 1997, p.43, fig.15, n°2).
Martigues, 450-400 (Sourisseau 1997, p.333, fig.140, n°4-6).
Martigues, 480-450 (Sourisseau 1997, p.331, fig.138, n°8).
Martigues, 525-480 (Sourisseau 1997, p.327, fig.134, n°1-5).
Peyrouse, 500-450 (Py 1998, p.188, fig.7, n°12).
Saint-Blaise, 400-300 (Bouloumié 1982a, p.119, fig.34, n°21).
Saint-Blaise, 525-475 (Sourisseau 1997, p.373, fig.150, n°11).auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -550 TAQ : -375
A-ETR 6
code : A-ETR genre : AMPH catégorie : amphore étrusque forme : amphore référence : Py 1985. description : Panse ovoïde large; bord continu prolongeant l'épaule. Exemples :
Marseille, 580-560 (Sourisseau 1997, p.89, fig.29, n°11).
Tamaris, 600-550 (Duval 2000, p.169, fig.5).auteurs : Michel Py utilisation : transporter, stocker TPQ : -600 TAQ : -525
